Venezà Moi vous tous qui peinez sous le poids du fardeau Il y a des épreuves pénibles à vivre, dont on a l'impression de sortir meilleur, plus fort, plus sensible à la misère d'autrui. Mais il y a des épreuves extrêmement lourdes dont rien de bon ne semble sortir : injustice et révolte sont les seuls mots qui peuvent exprimer l'insoutenable pour les personnes Venezà moi, vous tous qui peinez sous le poids du fardeau Pierre Descouvemont Jean-Luc Moens (Préface) Il y a des épreuves pénibles à vivre, dont on a l'impression de sortir meilleur, plus fort, plus sensible à la misère d'autrui. Mais il y a des épreuves extrêmement lourdes dont rien de bon ne semble sortir : injustice et révolte sont les seuls mots qui peuvent voustous qui peinez sous le poids du fardeau, et moi, je vous procurerai le repos. Prenez sur vous mon joug, devenez mes disciples, car je suis doux et humble de cœur, et vous trouverez le repos pour votre âme. Oui, mon joug est facile à porter, et mon fardeau, léger. » Merci aux lecteurs qui participent à la vie de ce site Que soit béni, le nom Lesparoles que Jésus prononce : « Venez à moi, vous tous qui peinez et ployez sous le fardeau, et moi je vous soulagerai » (Mt 11, 28) indiquent le mystérieux chemin de la grâce qui se révèle aux simples et qui offre un soulagement à ceux qui peinent et qui sont fatigués. Ces mots expriment la solidarité du Fils de l’homme, Jésus-Christ, face à une humanité Laparole « Venez à moi, vous tous qui peinez sous le poids du fardeau, et moi je vous procurerai le repos » (Matthieu 11, 28) La médiation. Entendons ce matin ces mots chargés d’espérance et de douceur. Dans l’esprit des Béatitudes, déchargeons-nous Ilnous donne un repos qui est cette paix intérieure dont l’évènement n’est pas tributaire de circonstances extérieures. » Venez à moi, vous tous qui peinez sous le poids du fardeau, et moi, je vous procurerai le repos. » Le poids du fardeau, c’est tous ces soucis du moment que nous portons la gestion sans y intégrer Dieu. Téléchargerle texte en format PDF Chers frères et sœurs, 1. Les paroles que Jésus prononce : « Venez à moi, vous tous qui peinez et ployez sous le fardeau, et moi je vous soulagerai » (Mt 11, 28) indiquent le mystérieux 82LR. En ce temps-là, Jésus prit la parole Venez à moi, vous tous qui peinez sous le poids du fardeau, et moi, je vous procurerai le repos. Prenez sur vous mon joug, devenez mes disciples, car je suis doux et humble de cœur, et vous trouverez le repos pour votre âme. Oui, mon joug est facile à porter, et mon fardeau, léger. » "Vous qui peinez et qui êtes surchargés"...Jésus, en disant cela, s'adressait en premier lieu à tous ceux qui étaient écrasés et blessés par le fardeau ou le joug de la Loi, mais aussi, plus largement, à tous ceux qui pliaient sous le poids des épreuves. Et là, chacun de nous se sent rejoint, compris, et interpellé. Car les épreuves sont notre lot à tous, au moins à certaines heures ou à certains tournants de la vie Epreuves de santé, épreuves de famille, épreuves dans la réalisation de nous-mêmes et, pour les consacrés, épreuves de la vie les personnes au caractère le plus heureux ou le mieux trempé peuvent se sentir un moment écrasé par l'épreuve ; et quand les soucis s'accumulent, elles accusent le coup, car le malheur leur semble sans issue."Venez à moi, dit Jésus, vous qui pliez sous le poids de la souffrance, vous qui pleurez un être cher, car je viens habiter votre à moi, vous qui êtes las de vous donner et de vous oublier, car avec moi cette mort sera fécon­ vous qui peinez au désert de la foi, car ma parole le fera à moi, vous que la haine a chassés de votre pays, de votre maison ou des horizons de votre enfance, car avec moi vous serez dans le pays de à moi, vous qui pleurez de ne pouvoir pardonner, car je suis doux et humble de à moi, et moi, je vous ferai reposer."Mais comment Jésus s'y prend-il, et quel ce repos qu'il nous promet ? Est-ce que le Seigneur enlève d'un seul coup de nos épaules toutes les charges et tous les jougs ?Non la plupart du temps nos fardeaux restent en place, même si parfois Dieu exauce nos prières de manière inattendue. Le plus souvent les fardeaux ne changent pas c'est nous qui changeons sous le fardeau, à partir du moment où nous l'assumons comme le fardeau que Jésus nous demande de porter, et à partir du moment où, à l'école de Jésus, nous reprenons un chemin d'humilité et de souvent c'est la révolte et l'agressivité qui nous ôtent toute force intérieure. Ce qui nous paralyse, c'est de deviner ou d'imaginer, derrière les épreuves, telle ou telle réaction trop humaine, telle ou telle incompréhension ou animosité, telle ou telle injustice, telle ou telle volonté de nous barrer la qui nous fait chavirer dans notre espérance, c'est d'interpréter nos souffrances comme un rejet de Dieu ou comme une absence de son l'école de Jésus, on n'échappe pas forcément à l'épreuve, mais on apprend à lui donner un sens, à l'orienter le plus possible vers la vie, à l'assumer résolument dans la réponse à fardeau demeure, mais il devient léger, parce que c'est l'amour qui le porte ce n'est plus le fardeau honni, mais le fardeau de Jésus. Le joug pèse encore sur les épaules, mais il ne fait plus mal, parce que Jésus lui-même l'a posé et l'ajuste chaque matin."Je vous ferai reposer", dit Jésus. Or son repos à lui fut rejoint à travers la Croix ; et c'est dans ce mystère qu'il nous invite à entrer c'est par l'humilité et la douceur qu'il est entré lui-même dans le repos de Dieu. … Vous rappelez-vous le jour où je vous ai dit que l’espérance est comme le bras transversal du doux joug qui soutient la foi et la charité, et qu’elle est le gibet de l’humanité et le trône du salut ? Oui ? Mais vous n’avez pas compris le sens de mes mots. Alors pourquoi ne pas m’en avoir demandé l’explication ? Moi, je vous la donne. C’est un joug, car elle oblige l’homme à rabaisser son stupide orgueil sous le poids des vérités éternelles, et c’est le gibet de cet orgueil. L’homme qui espère en Dieu son Seigneur humilie nécessairement son orgueil qui voudrait se proclamer “ dieu ”. Il reconnaît qu’il n’est rien et que Dieu est tout, qu’il ne peut rien et que Dieu peut tout, que, comme homme, il est pous­sière qui passe alors que Dieu est une éternité qui élève la poussière à un degré supérieur, en lui donnant une récompense d’éternité. L’homme se cloue à sa croix sainte pour parvenir à la Vie. Et il est crucifié par les flammes de la foi, de la charité, mais il est élevé au Ciel par l’espérance, qui est entre elles deux. Mais retenez bien cet enseignement si la charité fait défaut, le trône est sans lumière et le corps, décloué d’un côté, pend vers la fange parce qu’il ne voit plus le Ciel. Il annule ainsi les effets salutaires de l’espérance et finit par rendre stérile la foi elle-même en effet, détaché de deux des trois vertus théologales, on tombe dans une faiblesse et dans un froid mortels. Ne repoussez pas Dieu, même dans les moindres choses. Or c’est repousser Dieu que de refuser une aide à son prochain à cause d’un orgueil païen. Ma doctrine est un joug qui fait plier l’humanité coupable et c’est un maillet qui brise l’écorce dure pour en libérer l’esprit. C’est un joug et un maillet, oui. Néanmoins, celui qui l’accepte ne sent pas la lassitude que donnent les autres doctrines humaines et toutes les autres chaînes humaines. Celui qui s’en fait frapper ne ressent pas la douleur d’être brisé dans son moi humain, mais il éprouve un sentiment de libération. Pourquoi cherchez-vous à en être délivrés pour la remplacer par tout ce qui est plomb et douleur ? Vous avez tous vos souffrances et vos fatigues. L’humanité tout entière a des souffrances et des fatigues supérieures, parfois, aux forces humaines. Depuis l’enfant comme celui-ci qui porte déjà sur ses petites épaules un grand fardeau qui le fait ployer et enlève le sourire enfantin à ses lèvres et l’insouciance à son esprit qui, toujours humainement parlant, ne sera plus jamais celui d’un enfant, jusqu’au vieillard qui penche vers la tombe avec toutes les déceptions, les peines et les blessures de sa longue vie. Mais c’est dans ma Doctrine et dans la foi en moi que se trouve le soulagement de ces poids écrasants. C’est pourquoi on l’appelle la “ Bonne Nouvelle ”. Qui l’accepte et lui obéit sera bienheureux dès cette terre parce qu’il aura Dieu pour le soulager et les vertus pour lui rendre le chemin aisé et lumineux, comme s’il avait des sœurs pleines de bonté qui, en le tenant par la main, éclairent sa route et sa vie par des lampes allumées et lui chantent les éternelles promesses de Dieu jusqu’au moment où, laissant son corps fatigué tomber en paix sur la terre, il se réveille au paradis. Méditation de l’évangile du jeudi 14 juillet Venez à Moi, et Je referai vos forces. Il connaît le poids de nos misères, mais, attelé avec Lui au même joug, comme deux bœufs de travail, aucun fardeau ne nous pèsera, grâce à cette merveilleuse amitié d’un Dieu qui, devenu homme, tire avec nous sur le terrible quotidien.. Évangile de Jésus-Christ selon saint Matthieu 11,28-30. En ce temps-là, Jésus prit la parole et dit Venez à moi, vous tous qui peinez sous le poids du fardeau, et moi, je vous procurerai le repos. Prenez sur vous mon joug, devenez mes disciples, car je suis doux et humble de cœur, et vous trouverez le repos pour votre âme. Oui, mon joug est facile à porter, et mon fardeau, léger. » Méditation de l’évangile du jeudi 14 juillet C’est près de Jésus et près du Père que nous trouverons, à l’intérieur, l’explication de notre destinée, toujours si dramatique, devant la souffrance et la mort. Devant nos détresses, son cœur lui dicte un ordre, un de ces impératifs de tendresse dont Il a le secret Venez à moi, vous tous qui peinez sous le poids du fardeau, et moi, je vous procurerai le repos. Prenez sur vous mon joug, devenez mes disciples, car je suis doux et humble de cœur, et vous trouverez le repos. Oui, mon joug est facile à porter, et mon fardeau, léger. » Il se constitue le refuge de toute souffrance et de toute peine. On oublie que sa parole exacte s’adresse d’abord à ceux qui sont écrasés par le travail Omnis qui laboratis, à vous qui luttez dans le labeur quotidien, et à ceux qui sont écrasés par les soucis, la maladie, les peines morales. Oui, venez tous, venez à Moi ! Il a besoin de vivre d’intimité avec ceux qui souffrent, de devenir leur havre de paix. Sa lumière nous y conduit, malgré les bourrasques, car ne s’est-Il pas donné comme la Lumière du monde ? Venez à Moi, et Je referai vos forces. Il connaît le poids de nos misères, mais, attelé avec Lui au même joug, comme deux boeufs de travail, aucun fardeau ne nous pèsera, grâce à cette merveilleuse amitié d’un Dieu qui, devenu homme, tire avec nous sur le terrible quotidien. Venez à moi, vous tous qui peinez sous le poids du fardeau, et moi, je vous procurerai le repos. Dans le travail, dans la souffrance, si l’on vient à Lui, nous trouverons la paix, car sa Force nous soutiendra ; dans le sillon, pour alléger le fardeau, et son Coeur, de l’intérieur, éclairera notre coeur et le rassurera. Nous marcherons à son pas. Oui, dans les difficultés physiques et morales que l’amitié de Jésus soit votre force. Ecoutez sa voix “Venez à Moi… Prenez mon joug…Recevez mes leçons…” Cela veut dire en clair que le Seigneur s’attelle à votre peine et que vous n’êtes plus seul à la supporter. Son amitié va jusque-là, et c’est dans la réalité de notre vie, dans les souffrances physiques et morales qu’Il vous retrouve, Lui, le Fils de l’Homme ! Père Gabriel A propos Père Gabriel Responsable de la Fondation des Orphelins d’Auteuil pendant de nombreuses années, religieux spiritain, il est l’auteur des méditations d’Evangile proposées chaque jour sur Oraweb. Le Père Gabriel a médité l’Evangile pendant les cinquante années de son ministère avec le grand désir de faire découvrir à tous la personnalité fascinante de Jésus. Il est reparti vers Dieu en juillet 2006. DEFUNTS – OBSEQUES M. Wittal Polyphonies et voix disponibles Pas encore d’enregistrements disponibles. Partitions Voir Venez a moi vous qui portez un fardeau Cette partition est protégée, veuillez vous connecter. Références de la partition Cote SECLI EDIT 15-74 T M. Wittal M Ed Editions de l’Emmanuel Paroles Venez à moi, vous qui portez un fardeau R. Venez à moi, vous qui portez un fardeau Venez vous tous qui peinez, Et moi, Je vous soulagerai, Je suis le repos de vos âmes. 1. Mettez-vous à mon école, Car Je suis doux et humble de cœur. Prenez mon joug, il est aisé Et vous trouverez la paix… Mon fardeau est léger ! 2. Devant toi je tiens mon âme, Comme un enfant dans les bras de sa mère. Seigneur mon âme espère en toi ! En silence et dans la foi, J’espère le Seigneur ! Harry Potter 2005 ~¤~ Pré-au-Lard ~¤~ Forêt InterditeEvanSerpentard Re Rendez-vous au fond de la forêtEvan, le Mer 23 Aoû - 1424 Le vent tournait. Les feuilles de la vie pouvaient s'échouer en quelques secondes. Un acquis pouvait voler en éclats. Un principe en lambeaux. Je voyais celle qui était mon élève souffrir sous mon sortilège, et j'étais passé de réticent à cette idée, à ne pas esquisser le moindre remords de la voir ainsi, livrée à la était faiblesse, une vulgaire plume laissée à un tourbillon qu'elle ne pouvait que subir. Je voyais ses spasmes, entendais l'écho de ses larmes, qui avait suivi celui plus tôt de ses cris, mais j'étais devenu le bourreau qu'elle avait voulu que je sois. Pas même les empreintes de sang qu'elle laissait ne m'alertèrent. Quand je stoppais mon sort, je restais un observateur muet de ce spectacle que j'avais créé. Je l'avais brisée pour tenter de la rendre plus forte. Je la voyais, là, à essayer de se redresser, à tomber, mais je ne bougeais pas. C'était pour son bien. La souffrance par la souffrance. Elle l'avait voulue. Après un instant où je l'avais regardé peiner à essayer de retrouver ses esprits, sous les lambeaux de douleurs qu'elle était, je lui tendais une main pour l'aider à se relever, qu'elle s'empara de la sienne ensanglantée. Voyant cela, elle se recula, comme si elle ne voulait pas me souiller de son sang. Que j'avais fait naître à ma s'excuse puis me dit qu'elle doit le faire seule. Je la voyais tremblante, marquée par la souffrance qu'elle avait endurée, peiner, à se relever. De pas chancelants, elle se rattrapa à un arbre proche qui accueillit son sang en plus de sa fragilité. J'observais celle qui avait été mon élève, affaiblie, meurtrie, à tel point que je me demandais si ce qui venait de se passer n'avais pas tout changé. Si elle n'était pas devenue une victime et moi pour elle un danger, voir un inconnu. Je lui avais offert la douleur, sans aucune garantie que je serais en sécurité si elle venait à être interrogée. Et mon regard se perdait sur sa silhouette, sur son sang, sans qu'aucun mot ne me vienne. Qu'y avait-il à dire ? J'étais un mage noir, elle savait à quoi s'en tenir en me demandant cela. C'est la raison que j'avais maintenant. - La douleur forge la vie...J'allais ramasser sa baguette qui trainait toujours au sol où je l'avais laissée. Je ne pouvais la laisser regagner le château dans cet état. Ce qui venait de se passer devait rester entre elle et moi. Et son état ne devait alerter personne. Alors je lui envoyais deux sortilèges curatifs, un Curo As Velnus suivi d'un Episkey, pour stopper le sang et la remettre à peu près dans un état convenable qui ne trahirait pas forcément ce qu'elle avait subi. Je la regardais reprendre son souffle, un regard indifférent sur le visage. Elle m'en voudrait certainement, mais elle l'avait dit, c'était une nécessité. Je lui tendais sa baguette, sans un sourire pour celle que j'avais entrainé vers la magie Tu dois retourner au château... Tu dois te reposer de tout ça...Je n'étais pas désolé. Je n'avais pas mal pour elle. Le fond de mon âme ancrée à une colère étrange, à cette envie que de protéger mon Ordre serait toujours plus important que quiconque. Et que peu importait que j'aie été son mentor, cette vérité prévaudrait toujours. - La vérité forge la douleur... murmurais-je pour moi-même, convaincu maintenant que j'avais fait le bon choix. Et j'ouvrais la marche pour repartir vers le château dans les ombres de la forêt, la laissant se débrouiller, et tant pis si ses jambes ne pouvaient la porter. Elle était seule. Jacob G. KenwaySerdaigle RPJacob G. Kenway, le Jeu 5 Oct - 1802 Dialectique féraleft. Ciarán A. Merrow Les notes du piano me parviennent comme une esquisse de flamand rose dans les oreilles d'un orang-outan. – Off Screen – Voix française, accent anglais. Ton formel. Le calme dans la nuit est installée depuis très longtemps déjà, je n'ai pas d'idée d'où je suis. Je sais simplement que je me trouve au beau milieu de la forêt, perdu entre les cimes et les lucioles, le cœur vulnérable au vent et à la folie d'une bête déchaînée. Oui, la lune se tient haute ce soir et elle m'observe. Elle m'observe avec un grand sourire car elle sait que j'ai souffert le pris de mon éveil. Awakening. Pourquoi ne suis-je pas chez moi ? Pourquoi ne suis-je pas dans ma forteresse ? Pourquoi ne suis-je pas sur mon trône dans mon enclos royal fait de marbre et de deuil ? Je ne sais pas. Ce n'est pas la vraie vie. Ce n'est qu'un rêve. Je sais juste que ce qu'il se passe en ce moment c’est ce que j'ai de plus honnête et pur à nous offrir. Mes pattes frottent le sol; j'accours. Je me trouve loin de chez moi et j'ai la gueule ensanglantée. Frustration. Mon cœur bat à tout rompre et pas même la main glacée de ma maîtresse céleste agrippée à lui, est capable de l’apaiser. Cours. Fuis. Pourchasse. A sens inverse, je poursuis une ombre que je ne saurai rattraper. La gamine qui vient de se faire mordre ne devait pas être là, et je m’étais déjà nourri. Mais la lycanthropie vient avec le luxe d'un regret qui ne prend effet après plusieurs heures. Comme un soir de beuverie, comme une futilité qui a pu nous faire ne veut rien dire. constate que mes muscles me permettent de bondir bien plus loin, d'avancer bien plus vite. Je me sens plus présent et plus vivant. Je stoppe. Un arbre, les traces d'une créature que je ne connais pas. Un nouveau diner ? Un compagnon inné ? Cours, poursuis. Mes babines sont retroussées, ma langue se balance à l'air et je laisse mon odorat me guider. Si mes yeux distinguent plus facilement les ombres et les contrastes mon odorat est poussé et me permet de voir à trois cent soixante degré. Mais ça n'est rien comparé à ce que je goûte et déguste. Mon odorat a rendu mes yeux curieux ; la vue de ce monstre entre deux arbres et cinq racines font saliver mes babines. Mes dents brûlent d'un besoin de voir. Elles veulent voir de quoi sa chair est faite, si elle est douce et chaude, froide et sèche, fade et insipide, mes dents ont faim de savoir. Et bien, apprenez mes chères dents et goûtez car voilà venu l'heure de souper. – Slow motion –Les pupilles brillent d'un éclat de fureur. Les pattes avant du lycanthrope sont bien trop humaines comparées à celle de n'importe quel autre loup-garou. L'appuie qu'il a pris sur ses jambes lui permettent de bondir haut et loin. Ballet morbide. Ciarán A. MerrowSerdaigle Re Rendez-vous au fond de la forêtCiarán A. Merrow, le Dim 8 Oct - 1655 J'ai toujours préféré vivre le soir. Au moment où le ciel perd son bleu naturel. Où les rues se vident, et les coeurs aussi. Quand la nuit se fait profonde, douce et sombre à la fois. Être éveillée quand tous les autres corps alentours sont endormis me donne toujours le sentiment d'être plus vivante que jamais. Et parfois même, la lune se joint à moi et caresse les rideaux de ma chambre au rythme lent des notes de piano que j’imagine. L'astre éclaire les visages paisibles, veille au grain sur ces organes internes, les observe silencieusement se libérer de toute douleur. Les notes de piano s'intensifient. L’espace d’une nuit, on se sentirait presque invincible. If I told you what I was,Would you turn your back on me?Parfois, même la douceur de la nuit échoue à calmer. Ce soir-là était donc l’un de ces soirs où rien n’allait. Un de ces soirs où l'inconscient sait pertinemment que seul le sommeil pourrait calmer, portant dans ses bras l’aube d’un jour nouveau. L’un de ces soirs où, pourtant, il refusait de se montrer. Mes membres humains ne cessaient de se mouvoir dans un linceul pâle, et mes yeux refusaient de se fermer, bien trop troublés par le bruit de mon coeur d’humeur tapageur. Je me sentais opprimée. Esseulée. Désordonnée. Ever since I could remember,Everything inside of me,Just wanted to fit moi, la symphonie de mes sentiments se faisait grave, incessante. Il fallait que je fasse quelque chose pour m’épuiser, pour éreinter le concerto de mon existence. Il fallait que je sorte, là où même la lune ne pourrait me retrouver. Dans la forêt interdite, même son courage n’osait pas s’aventurer. Les arbres étaient trop réticents à laisser ses rayons passer, préférant garder pour eux les secrets qu’ils observaient, prohibés. L’obscurité régnait en maître dans la sylve. Et justement, j’étais d’humeur sinistre ce soir. À l’intérieur, comme à l’extérieur, un grand voile noir flottait dans le souffle de la faible brise des ténèbres. J’avais failli tuer une élève, aujourd’hui. J’avais contenu de toutes mes forces le monstre qui sommeillait en moi. A monster. A monster, I've turned into a monster. And it keeps getting ce soir dans ce perchis dense, je laissais mes ailes fragiles et abimées chanter sous ma peau, aux abords de ma colonne vertébrale, dans le haut de mon dos. Un hurlement terrifiant s’échappa de ma gorge, tant la douleur était grande. Tant le soulagement d’enfin laisser parler celle que j’étais vraiment était immense. Ma peau pourrissait à mesure que les secondes passaient. Chacune des parcelles de mon enveloppe se couvrait d’écailles visqueuses, faisant disparaître cette mascarade sans aucun défaut que je portais quotidiennement comme un fardeau. Entre mes doigts, un supplément de peau apparaissait, reliant chacune de mes phalanges un peu plus près de sa voisine. Et ma bouche, d’habitude si pulpeuse et rose, s’affaça pour laisser place à un bec crochu, verdâtre et pointu, dans une mélodie taciturne. Sous la paume de mes mains, douloureusement recourbées, aux ongles longs et épais, je sentais un feu puissant s’embraser. Je ne me sentais plus humaine. Je pouvais finalement laisser parler ce que je réprimais au quotidien. La souffrance n’était plus. J’étais enfin moi. And if I seem dangerous,Would you be scared?Mon ouïe est plus sensible. Autour de moi, des centaines de créatures de tous horizons se mettent à crier leur détresse. Il y a aussi ce rythme singulier qui se rapproche. Boum, boum. Des pas sur le sol dur et terreux de la forêt, que les arbres se donnent tant de mal à cacher. Cet humus qui ne voit jamais le soleil, humide et puant. Boum, boum. Les feuilles volent à son passage. Les notes de piano deviennent sourdes et muettes. Boum, boum. Les violons prennent le relai, dans un effort grave et sonore. Boum, boum. Ce ne sont pas des pas qui se rapprochent. Boum, taking a stand to escape what's inside me retourne. Je ne vois plus que des canines ensanglantées qui crèvent d’envie de trancher mon visage déformé par la haine et la colère. Des pattes humaines et salies qui voudraient décapiter ma tête, tout ce qui me permet d’encore penser. Do I have to run and hide?Le monstre en moi ne peut pas s’en empêcher. Je ne suis pas sur la défensive. Je n’ai pas peur. Que pourrait-il m’arriver? Je suis moi-même. Dans mon état le plus brut. Je n’ai pas à me défendre. Je dois l’attaquer, à l’image de ces Hommes qui me tuent un peu plus jour après jour, me croyant joyau quand je ne suis que pierre. Me pensant femme quand je ne suis que gardienne d’épave. M’imaginant belle quand je ne suis que laideur. Hurlement dans la nuit. I never said that I want thisThis burden came to meAnd it's made its home inside—D’un geste gracieux et rapide, les serres brulantes et épaisses de Ciarán se libèrent du brasier qui les consume. La boule de feu jaillissant d'elle éblouit les troncs alentours et crépite dans le silence de plomb. Danse putride. Madilyn NebuloPoufsouffle Re Rendez-vous au fond de la forêtMadilyn Nebulo, le Dim 28 Jan - 1907 pv jaceUne petite balade nocturne. Ce soir tu t'es évadé de ton dortoir. Ouais. Encore. Mais cette nuit c'est plus les cauchemars, pour une fois. Une sensation d'étouffement, envie d'aventure, t'as fui. Et t'as choisi la forêt. Tu connais pas bien, pis y a cette espèce d'appel qu'elle te lance, fascinante, t'as besoin de cette atmosphère d'interdit qu'elle t'offre. Du danger. De la solitude. Et la nature, sinistre de nuit. Parfait. Ce soir y a pas beaucoup de lumière, même pas du tout. Les étoiles sont floues, et la lune capricieuse se faufile derrière les nébulosités nuageuses. Elle joue avec toi, de toute façon ce soir tu vas jouer. Aventurer. Essayer. Transgresser. T' devrais sûrement avoir peur, mais non, bien sûr. Toutes les créatures qui grouillent là-dedans, tu les attends ! Tu es venue les chercher !Tu marches lentement, cherchant ton chemin dans l'obscurité totale. Les feuilles mortes craquent. Le vent murmure. Le froid te pique un peu. Mais c'est pas grave. Tu marches. Ton instinct te guide, c'est très cérémonial, cette progression dans le silence, mais l'adrénaline fait le puisUn cliquetisMécaniquePerçant le doux silence nocturneUn bruit qui ressembleA la mortTu te retournes lentement. Une ombre, pattes graciles et velues, aux huit yeux brillants. Et ce cliquetis. La panique s'empare de toi. Au début, tu restes figée, incapable de bouger, d'émettre le moindre son, de réagir, de fuir. Tes pensées sont paralysées, t'es plus qu'une coquille, une coquille remplie, pleine de puis tu cries. Un cri primal, cri de détresse, humain, chargé de cette véritable épouvante infinie qui te saisit. C'est le cri du lion, du nouveau-né. Les larmes se déversent en torrents sur tes joues. Et cette chose qui s'avance lentement vers toi, comme pour mieux se délecter de ta panique intense. Tu hurles et tu pleures, tu meurs et tu jambes se dérobent sous toi, et tu tombes à terre, sans parvenir à te relever. Ton esprit est pétrifié. Tu n'as plus aucune autre arme que tes mains, risiblement brandies devant toi comme en une dernière supplique. Tu hoquettes, tousses et voulais juste un peu d'aventure... Invité Re Rendez-vous au fond de la forêtInvité, le Dim 28 Jan - 1940 Parce que la nuit est sombre et pleine de avec LA sortie une nuit au clair de Lune comme à la mauvaise habitude que j'ai prise durant ses cinq dernières années, ce soir là j'avais fait un petit détour dans les cuisines pour récupérer une pomme avant de sortir du château et me posé contre un arbre. Malheureusement je ne pouvais profiter pleinement du ciel étoilé et de l'astre glacial dans l'infinité de la nuit, les nuages... Je soupir un instant c'est bien dommage j'avais besoin de respirer ce soir, je m'étais relevé pour commencer mon voyage retour jusque dans les cachots avant d'entendre un cri. Un long cri qui me fit frisonner l'échine, mon corps décide de bouger de lui-même sortant ma baguette de ma poche et lançant un Lumos je cours en direction de la source du bruit, la forêt est vaste et connaître la position exacte du cri s'avère compliqué...Un autre cri beaucoup plus proche ! Je suis dans la bonne direction je reprends alors ma course et arrive juste à temps visiblement ! Une acromentule était très proche d'une jeune fille que je ne connaissais pas, mais grâce à mon Lumos j'ai réussi à détourner l'attention de l'araignée. Vachement effrayante comme créature cependant je connais le sortilège qui peut m'en débarrasser, je m'approche alors du monstre baguette pointé en sa Exumaï !Un rayon de lumière bleutée se dégage de ma baguette avant de frapper de plein fouet l'acromentule qui se fait propulser quelques mètres plus loin. Le sortilège ne l'a pas tué pour autant je m'apprête alors à lancer une seconde salve avant de la voir détalée dans un bruit des plus horribles... Je reste quelques secondes toujours baguette levée tournant la tête dans tous les sens, ce serait dommage que j'en attire d' ma baguette dans ma main gauche je m'approche de la jeune fille qui était restée au sol et lui tend ma main droite pour qu'elle la prenne et qu'elle se va tu n'es pas blessée ?J'avais toujours mon Lumos d'activé on ne sait jamais si quelques choses d'autres arrivent on le saura assez vite, j'espère juste ne pas croiser de loup-garou ce serait sacrément bête... Je n'ai pas spécialement l'envie de devenir un lycanthrope. Madilyn NebuloPoufsouffle Re Rendez-vous au fond de la forêtMadilyn Nebulo, le Dim 4 Fév - 1654 Une lumière dans la nuit. Un éclair. Qui zèbre l'obscurité. Une silhouette floue, rapide, qui se dresse d'un seul coup devant la créature, et ces deux mots hurlés Arania Exumaï !Etincelles bleues, t'es éblouie, l'espace d'un instant t'y vois plus rien, tu paniques, puis ça revient doucement. Les images, les couleurs. Et cet écho si lourd qui retentit comme un compte à rebours. Ton pouls. Qui résonne en toi comme un rappel du danger, de ta peur de ta faiblesse. Tu n'es plus aveugle, maintenant, mais muette. Le brouillard s'ôte de tes pupilles et tu prends conscience de la présence d'un garçon juste là. Et tu réalisesC'est luiLa silhouetteLe sortLe sauvetageC'est luije... je crois... mais... cette peur...Toujours à terre, entre tes larmes, pantin de l'adrénaline, tu suffoques. Peu à peu tu t'habitues mieux à la lumière et retrouves toutes tes capacités visuelles. Tu le vois et il te voit. Ton coeur bat de plus est si beau... Eclairé par sa baguette, l'air inquiet, mais rassurant. Tu n'es pas si naïve, tu sais que tu offres un misérable spectacle, toute rouge et larmoyante. Mais... lui. Ton regard s'accroche au sien et tu ne parviens plus à t'en détacher. Un magnétisme, une force obscure dans ses yeux si hypnotiques. Tu parviens à peine à je crois que c'est ma cheville... La douleur t'arrache de nouveau des larmes, mais tu n'y prêtes plus attention, obnubilée par cet être, cette aura, cette chaleur. Immobile, médusée, tu restes suspendue à lui tout entier. Tu te sens sombrer... Et cet écho...boum boumboum boumboum boum Invité Re Rendez-vous au fond de la forêtInvité, le Sam 10 Fév - 2304 LA de as le miens si fois que je me retrouve face à elle, je constate qu'elle a toujours les yeux fermer j'ai un petit sourire amusé qui s'affiche sur mon visage, espérons qu'elle fût juste éblouie avoir les yeux fermers en pleine forêt ce n'est pas une bonne idée. Après quelques secondes elle m'explique qu'elle a eu très peur je peux comprendre je n'ai pas spécialement peur des araignées mais une acromentule ce n'est jamais un plaisir à voir. Avec la lumière de mon Lumos je vois qu'elle essaye de reprendre son souffle et qu'elle a encore quelques larmes sur ses joues, visiblement elle a remarqué que je la regardais elle semble accrochée à mon regard. À me fixer comme ça je me sens légèrement mal à l'aise et je passe ma main dans mes cheveux avec un sourire gêné quel idiot...Elle tente finalement de se relever mais reste au sol en mentionnant sa cheville, je m'agenouille alors à côté d'elle prenant délicatement son mollet et pointant ma baguette vers celui-ci, je ne suis pas medicomage mais je suppose qu'elle s'est peut-être foulée la cheville. Je tourne de nouveau la tête vers elle et constate qu'elle a fermé les yeux... M*rde ! Son état de choc la mise K. O, très mauvaise idée de la soulager ici me mettant à sa hauteur je la prends dans mes bras et l'emmène à l'extérieur de la fois en sécurité je la pose assise contre un arbre et retourne à son mollet que je prends délicatement à nouveau, baguette à nouveau pointée sur celui-ci je prononce doucement un Curo As Velnus, me permettant de lui retirer sa chaussure je lance un Ferula pour que toute sa cheville soit prise dans un bandage pour maintenir le tout en place avant de la lui remettre délicatement. Une fois tout ça fait je me place à côté d' je bascule ma tête en arrière et essaye de nouveau de voir les étoiles ainsi que la lune, quelle soirée moi qui penser que ça allez être tranquille au final je sauve une jeune fille d'une acromentule et voilà que je me mets à la soignée, j'ai l'habitude de blesser les gens par des soigners... Ça fait un drôle d'effet...-J'espère que nous n'allons pas passer la soirée à la belle étoile... Je n'ai pas prévu de sac de couchage et encore moins de couverture. Madilyn NebuloPoufsouffle Re Rendez-vous au fond de la forêtMadilyn Nebulo, le Sam 17 Fév - 1847 LA mutuels pour tout le RPLe timbre chaud de sa voix te réveille, Belle au bois dormant revient d'entre les morts. Et puis tu sens sa présence, son corps tout près du tien, ses mains, ses yeux. Ses yeux....Le silence vous recouvre de son doux écrin, seules les étoiles vous regardent, belles indiscrètes, et le rictus de la lune se reflète à l'infini dans ta rétine. La blancheur radieuse de l'astre sélénite jette une larme sur vous deux, t'offrant une parcelle d'image de son sourire, fugace capture, instant dans ta mémoire. Tu le regardes longtemps, sans qu'il le sache, tant qu'il croit que tu es encore endormie. Il est beau quand il se croit seul...Œillade volée, souvenirs de lui collectés, un béguin, sauveur éphémère, un amour qui mourra sûrement avec l'évanouissement de la rediriges ton regard vers les scintillantes, perles de jour dans l'ombre. Elles vous admirent silencieuses, et vous leur rendez la pareille, d'égal à égal avec l'immensité, vous surplombez le étoiles nous protégeront, et le ciel nous couvrira...Cette fois vos regards se croisent. Se chassent. Se choquent. S'attirent. Et se fondent l'un dans l' intense forgé dans le tu veuxTu veux être l'oiseau qui transcende l'abîme, vol veux être l'arc-en-ciel qui sublime la volupté onctueuse de son soleil qui illumine un peu plus la couleur de sa voûte, son juste un point de silencieuse, belle ton pouls tempête, diluvien, éclairs, orage, cyclone, flaque, trombes, averses. T'es toute trempée, tu nages, et tu suffoques, l'océan bleu te domine, et la vague t'a balayée, alors... tu succombes à l' tes lèvres se posent sur les siennes, délicates, papillon sur une fleur. Tes bras se déploient pour l'entourer, et tes doigts plongent dans ses cheveux. Reste. Reste avec tu deviens géante rouge, la fièvre t'attaque, et tu le resserres encore contre toi, tes yeux clos, tu fais confiance à tes autres sens pour saisir le moments et les sensations. Tes lèvres le visitent, sa peau veloutée, son cou vers lequel elles dérivent, tu l'explores, tu t'explores, tu cherches, et tu trouves. Tes mouvements sont lents, délicatesse, tu le goûtes et tu t'écartes un instant. Reprend ton souffle. Mordille ta lèvre inférieure. Puis la vent s'est levé, et tu te fais plus intense, tu agrippes à lui, et ne veux plus t'en décrocher. te redresses et t'assois sur l'herbe, le tire légèrement à faire de même, à l'attirer vers toi aussi, imperceptiblement. Ton cœur résonne toujours, exulté. Un dernier regard vers les étoiles complices avent de replonger vers lui. Tu lui as montré ta lumière. Tu prends sa main et la poses sur ta joue, chaque fragment de ton épiderme est en éveil, et n'attend que lui et le retour de la vague. A toi. Invité Re Rendez-vous au fond de la forêtInvité, le Sam 17 Fév - 2008 TW Attouchement et baiser coquinJe ne sais pas combien de temps il sait écouler avant que la douce voix de la jolie créature a la crinière de feu ne transperce le silence de la nuit, alors je la regarde avec un agréable sourire. Elle n'a pas l'air d'avoir mal c'est le principal mais répond à ma phrase que j'ai dite il y a quelques minutes. Donc elle était déjà réveillé petite espionne, je tourne alors ma tête vers elle et je croise son regard, non c'est faux... Je ne croise pas son regard mais je plonge dedans tel dans un trou noir, elle a une petite étincelle qui m'appelle sans que je ne sache pourquoi. Pourquoi ? Pourquoi me fixes-tu autant et pourquoi je te fixe autant... Je cligne des yeux avant d'ouvrir la bouche et de te dire fait je me su...Pas le temps de finir ma phrase que la jeune fille se jette sur moi posant ses lèvres contre les miennes d'une délicatesse que je n'ai jamais connue... Je ne réagis pas tout de suite laisse mon oeil ouvert de stupéfaction elle en revanche a l'air d'énormément apprécier alors qu'elle passe ses bras autour de moi et de plonger ses mains dans mes cheveux fermant alors mes yeux je profite de la situation, agréable, un immense brasier brûle alors au fond de mon être, me poussant à vouloir plus encore et encore comme une soif insatiable. Elle commence alors à embrasser mon cou contact qui me recouvre de frisson, je lui mordille le cou très rapidement avant de lui dire dans un léger dangereux jeune s'écarte alors légèrement, se redresse et mon instinct primaire prend le contrôle de mon être en lui attrapant la main et l'installant à califourchon contre moi, sentir son corps brûlant... Ta main gauche glisse le long de sa cuisse sous sa jupe pour remonter jusqu'à son fessier, alors que ta main droite glisse le long de son dos pour se placer à sa nuque relevant sa tête alors que tu glisses ta langue le long de son cou avant d'embrasser cette fine partie de m'as donné "faim" tu en as conscience j' l'embrasse langoureusement avant de la regarder avec un sourire amusé mes mains toujours à leur rencontres avec toi ce passe toujours comme ça ? J'ai hâte de te rencontrer à nouveau demain dans ce cas. Madilyn NebuloPoufsouffle Re Rendez-vous au fond de la forêtMadilyn Nebulo, le Ven 23 Fév - 1933 TW contenu sensibleVos corps se meuvent à l’unisson, chorégraphie sous l’obscurité complice, pimentant l’instantané. D’abord pris de court, l’être désiré se prend au jeu, et s’y prend bien... La bête s’éveille et ta peau rugit au contact de ses lèvres, ses dents, sa bouche sur ton cou et son épiderme fin. Tu fermes les yeux et bascules la tête en arrière, voulant qu’il humecte chacun des grains de ta peau, sensation enivrante, tu t’embrases et il t’embrasse tant et tant que tu veux t’engouffrer toute entière dans ces lèvres si pures, si belles. Tu respires rapidement, quelques tremblements te prennent, tu veux sombrer, sombrer plus encore. Sombrer...Tu te replonges dans son regard et tentes de contenir cette lave, ce brasier en toi, qui s’empare de toi et qui t’effraie, ce brasier d’envie bouillonnante. Tu te mords la lèvre inférieure en le regardant. Tu te détournes un instant avant de revenir vers ce regard incendiaire, comme aimantée par cette chaleur qui provient de sa peau et qui est si présente en toi aussi...C'est dangereux jeune fille...Et aujourd'hui tu as envie de danger. Mourir s'il le faut. Pour lui, pour ce moment...Je sais...Sa main attrape la tienne, éveillant toujours plus de flammes en toi, crépitantes et dévorantes. Alors en un mouvement délié il t'installe à cheval sur lui, et tu imploses, tu t'abandonnes à lui, plongeant ta tête dans son cou, et l'embrassant à l'infini, léchant, mordillant. Tes mains le caressent doucement...Ses mouvements se font rapides et tandis que ses doigts se font tes maîtres, te domptant et te possédant tout en t'accrochant la nuque pour offrir ton cou gracile à sa langue, l'autre main s'aventure sous ta jupe, caressant tes formes en feu, ta respiration Sébastien sait plus affolée encore, et d'un coup sec tu saisis son col. Tu joues avec un moment avant de l'agripper violemment et de l'attirer à toi, toute en t'embrasse longuement, des deux dartfifi e inconnus explosent partout en toi, on dirait presque que tu meurs alors qu'en fait tu vis plus que jamais. Tu laisses ta langue laser jusqu'à son cou et à peine plus bas. Pendant ce temps ton bassin s'affole et tu le fais dangereusement tanguer, mouvements lents, dans lascive. Tu te frottes àlui en ondulant tes hanches, et explores plus haut en tirant sur ce col tortuonnaire pour explorer plus en profondeur son torse bouillant avec les doigts et les a faim ? Très bien dans ce cas, à table... Invité Re Rendez-vous au fond de la forêtInvité, le Lun 26 Fév - 1150 La nymphe a la chevelure de feu est très belle et dangereuse, ses baisers sur mes lèvres et mon cou me font perdre toute résistance je veux plus encore et encore plus. Elle sait que c'est dangereux, je pourrais la briser comme une poupée de porcelaine mais quelque chose en elle me fait prouver le contraire, serais-tu une Succube ma douce ? Je ne sais guère, je sais simplement qu'elle a envie de moi et que j'ai envie d'elle. Ses mouvements contre moi provoquent chez moi une réaction immédiate serrant ma prise sur elle et dans un mouvement, je la fais s'installer dos à moi glissant mes mains sous son chemisier lui embrassant le cou pour qu'au final. Je la bascule sur le côté pour me permettre de me relever et de bien replacer mes la regarde elle semble surprise, léchant mes lèvres supérieures et inférieures pour en récupérer le moindre petit nectar de ses lèvres et de son goût je la regarde avec un petit ma douce Nymphe. Mais ce n'est pas l'endroit idéal pour ça... Je m'approche d'elle pour la prendre par en-dessous des bras et la remettre debout à son tour et de la regarder dans les yeux voir correctement sa chevelure de feu sous le regard glacial de la revanche j'ai très hâte de te revoir si tu es d' mes mains jusqu'à sa taille je lui embrasse tendrement la joue avant de lui susurrer à l'oreille tel un serpent que je peux m'appeler Jace. Madilyn NebuloPoufsouffle Re Rendez-vous au fond de la forêtMadilyn Nebulo, le Dim 4 Mar - 1825 Il te serre plus fort encore, et tu voudrais t'abandonner toute entière à lui, tu voudrais ne jamais quitter ces bras enjôleurs, faiseurs de paradis et de sensations parfaites. Tu voudrais que vous ne vous lâchiez jamais, tu rêves de le séduire toute la vie, le posséder toujours, et conserver éternellement ce moment de volupté. Gestes fluides, tu bascules à nouveau entre ses mains agiles, pour te retrouver dos à lui, sans pour autant lâcher son crâne ni arracher tes lèvres à son cou et à sa peau délicieuse, tes yeux toujours clos, et ce volcan explosant toujours en toi, doigts glissent sur ta peau fiévreuse et ses lèvres sur ton cou, en mille feux d'artifices, tu aimerais tant que ses mains continuent à modeler ce plaisir incomparable, qu'elles continuent à décrire tes désirs. Tu n'aurais jamais cru les corps et le charnel si puissants, mais ce soir ils le sont tellement que tu n'es plus qu'un corps vibrant d'envies yeux plongent dans les tiens encore une fois, et tu t'empares de son visage pour le faire tien, caressant sa peau et ses lèvres avant de sourire, toi aussi. Tu veux pouvoir me rappeler de lui tout ma douce Nymphe. Mais ce n'est pas l'endroit idéal pour ça...Mille épines et aiguilles dans ton cœur qu'on arrache comme on t'arrache à lui. Et pourtant tu comprends et tu sais qu'il a raison. Mais c'est si dur... Tu dissimules ta déception bien réelle derrière une moue boudeuse destinée à le faire succomber encore aux charmes de sa Nymphe. Tu sais qu'il ne céderas pas mais tant pis. Te bercer encore dans l'illusion...-En revanche j'ai très hâte de te revoir si tu es d' réussit à t'arracher un sourire, et tu passes tes bras autour de ses épaules en pressant ostensiblement ta poitrine contre la comment... Je me languis déjà de toi...Tu prononces ces mots d'une voix charmeuse, et tu les ponctues en te léchant les lèvres, dépose un baiser sur ta joue, et murmure à ton peux m'appeler plantes ton regard dans le sien, farouche. Alors c'est le nom de cette si délicieuse créature...Je suis tu t'enfuis, légère, laissant derrière toi un dernier baiser intense et langoureux. Max ValdrakSerdaigle Re Rendez-vous au fond de la forêtMax Valdrak, le Mer 23 Mai - 1518 Un peu plus de deux mois sans réponse[RP Unique]Une nouvelle pageMoment d'évasion. Moment hors du temps. Fuir seul mot dominant. Fuite de la réalité et des problèmes liés. Fuite de tout et de tout le monde. Fuite pour ne pas faire de mal et ne pas avoir mal. Implosion en cours. Des pensées plus présentes. Des mots qui tendent à disparaitre. Revenu d'un bond en une question. Une simple interrogation. Une courte évocation. Entretien au ministère. Alors que la pente tendait à se rapide. Esprit perdu. Ne sachant quoi faire. Je m'évadais. L'esprit et le corps. Dans la nature. Forme animal de mise. Je ne cherchais pas à comprendre où j'allais. Ni même à retenir le chemin que j'empruntais. J'en avais besoin. Juste me sentir de ces chaines du passé qui se jetteront sur moi dès que je m’arrêterais. Non je devais pas. Seulement quand la fatigue sera trop grande. Que mes jambes ne voudront plus avancer. Plus me porter. Contrainte alors à m’arrêter. En attendant, je grimpais, sautais, tombais, courais. Ralentissant petit à souffle venait à manquer. Pause obligée pour le reprendre. Sans même me soucier de mon environnement. Je m'assis au pied d'un arbre. Regardant ses hautes branches. Tenant mon esprit occupé tandis que mon corps lui se reposait. Tandis que...Bruit. Réflexe. Mouvement. Griffée. Retransformée. Humain face à l'animal sauvage qui venait d'attaquer. Raison inconnue. Nouvelle attaque. Au même moment, sortie de la baguette. Bestia domin...Un seul des deux réussi son coup. Les gouttes de sang sur le sol rejoignant la baguette ne laissant que peu de place à aucun doute. Perdue. Quadrupède trop proche du visage. Aucune place à la réflexion. Je ne réfléchissais plus. Quelques instincts toujours présents. Des réflexes d'il y a longtemps. Main non touché attrapant la première garde dans la poche. Un poignard. Premier Debout. Un partout. Balle au centre. Il ne partit pas pour autant. La fatigue. La tristesse. La colère. Tout accumulés j'avais du mal à penser. De réfléchir à une vraie solution. Je ne me maitrisais plus. Figée par la peur et la douleur. Mode automatique enclenché depuis quelques jours sans même savoir pourquoi exactement. Des nerfs à vif. aux yeux. Pourquoi moi? Je ne savais pas. Je ne voulais pas et pourtant la vie en avait décidé autrement. Le hasard, les coïncidences n'étaient pas vraiment de mon côté. Je sentais que c'était fini quand l'animal sauta. Figée. Arme en avant. Tout allait donc se finir maintenant. Yeux dans les yeux. Rapprochement. Choc. Claquage de mâchoire. Hurlement. Puis soudain plus un bruit. Plus un ce vraiment la fin? Pas de noir? Pas de lumière? Test. répondant aux signaux. Et si...Pensées envolées. Corps de l'animal sur moi, poussé sur le côté. Il était trop tard pour lui. Puis la dure réalité. Un de nous respirait toujours. Non je n'avais pas...Si. Mon couteau dans son ventre. Je ne comprenais pas. Comme si tout ce temps ce n'était pas moi. Redescente sur Terre rapide. Des larmes. Assise près du corps. M'excusant mais il était trop tard. Je ne savais pas combien de temps, je restais ainsi bloquée. Je savais juste ce qui m'avait réveillée. Deux louveteaux qui tournaient autour de mon voisin. Deux enfants qui venaient d'arriver. Constat encore plus dur. Une louve. Comment avais-je pu être aussi aveugle? Une mère de deux très jeunes petits. Elle cherchait sûrement juste à les protéger. Je me sentais encore plus insensée venant d'être prise. Rox et Rouky arrivant. Inquiets restant près de moi. Regard vers le bras meurtri. Puis venant au plus près. Montrant leur attention. Comme s'ils me cherchaient depuis un moment. Un regard vers eux. Un vers les petits. Je ne pouvais pas les laisser ici. S'il leur arrivait quelque chose je ne pourrais me le pardonner. Je promis alors au corps de la mère de prendre soin des enfants. Je tentais alors de les prendre. Mais l'odeur de sang semblait les repousser à moins que cela ne soit que moi. Ils étaient tellement jeunes. Rox et Rouky s'approchèrent alors. En prirent un chacun. Aucun ne dit rien. Ils étaient bien calmes. Je ne savais comment remercier mes deux amis. Maintenant il nous fallait rentrer. Soigner mes plaies. Quelque chose me disait que cela n'était peut être pas un hasard mais un signe. Signe de changement. Et si...Fin Max ValdrakSerdaigle Re Rendez-vous au fond de la forêtMax Valdrak, le Mer 8 Aoû - 1615 Une bombe à retardementAvec Aidan CrayCheval pétrifié. Comment quelqu’un avait pu oser? Cheval pétrifié. Je me sentais basculer. Cheval pétrifié. Ces mots n’arrêtaient pas de tourner. Cheval pétrifié. N’était-ce pas une peur pour soi plus que pour l’animal? Cheval pétrifié. Maintenant je me devais de le ramener. Cheval pétrifié. Personne pour aider. Cheval pétrifié. Je me retenais de hurler. Après avoir trouvé foyer pour l’animal. Le sachant maintenant entre de bonnes mains je pouvais rentrer. Ne poser. Réfléchir. Repenser aux événements passés. Ce n’était pas forcément grand-chose et pourtant. Ce n’était qu’un animal comme dirait certains et pourtant. C’était pour la bonne cause et pourtant. Et pourtant j’avais mal. J’avais mal pour lui comme j’avais mal pour moi. Non ce n’était pas pas grand-chose », tous les actes ont une importance et s’attaquer à un animal n’est pas excusable. C’était peut-être qu’ un animal » mais c’était aussi et surtout un être vivant. Non ce n’était pas pour la bonne cause, du côté de qui? Nous pensons toujours que nos actes sont bons mais le sont-ils vraiment? Je sentais quelque chose monter en moi. Quelque chose que je m’efforçais de cacher mais qui d’un coup voulait ressortir. Je pensais que ce feu ravageur avait fini par mourir. Tout cela n’était qu’illusion. Je n’étais faite avoir à m’auto assurer que tout allait mieux. Ce séjour en Suède ne m’avait pas réussi. Mon esprit ne voulait pas. Trop d’informations. Trop de tout. Dans la forêt je m’étais réfugiée. Contre un arbre j’avais frappé. Il n’avait rien demandé. Je m’excusais. Je m’excusais lorsque ma main craqua sous un impact. C’était trop. Les larmes rejoignirent le sol comme les gouttes de chaleur. Mais même avec la douleur anesthésiant mon bras je continue. Encore. A frapper. Pauvre arbre innocent. Je n’en pouvais plus. Tout cela qui bouillonnait. Pas de piliers, trop instable. Impossible de me montrer. Mère qui me comparait. Frère qui tentait de partager. L’inquiétude pour elle. Ce côté pas doué pour prendre des nouvelles. Ce masque qui me collait à la peau. Aider les autres était ce que je savais faire et encore, j’échouais. Garde-chasse. Garder une forêt pour un écureuil. Je n’y croyais toujours pas. J’avais trouvé un but mais l’avenir était toujours flou. Que faire? Je ne pouvais pas le dire. Je ne voulais pas inquiéter. Le confessionnal m’avait un peu aidé mais les cauchemars étaient revenus. Devais-je y retourner? A bout de force, je tombais à genoux. Trop de réflexions. Je ne savais pas gérer. Je me découvrais chaque jour une nouvelle peur, espace clos, abandon, la mort, le monde, moi, l’abandon… Abandon…comme à ma naissance. Pourquoi avait-elle fait ce choix ? Je la comprenais mais je n’arrivais pas quelque chose me le monde se mit à tourner. Tout devient flou. Je me sentais partir. La fatigue l’emportait toujours. Jackson EmerenzianaMinistère de la Magie Re Rendez-vous au fond de la forêtJackson Emerenziana, le Jeu 9 Aoû - 2000 LA MaxNon mais pétrifié un cheval quoi ! Il est fous le Directeur des Poufsouffles ! On ne pétrifie pas un cheval b*rdel ! C'est un animal respectueux le cheval ! Il fait confiance aux Hommes ! Et toi... toi... tu le pétrifie ! En plus j'ai même pas eu le temps de me faire pardonner auprès de la Garde-Chasse... C'est de ma faute tout ça en vrai ! Si j'était un bon Professeur jamais le cours ne se serait passer comme ça... Les derniers élèves partis et la classe rangé je descend en vitesse les escaliers, qui n'en font qu'à leurs têtes. Comme d'habitude de toute façon ! Et cela depuis des centaines d'années ! Maintenant direction la maison de Miss Valdrak, j'aimerais voir le Cheval, savoir s'il vas bien... Avec le choc de ce sort il a dû se faire mal... J'espère pas en tout cas, sinon Anthony vas m'entendre crier. Ah voilà la maison... Exactement la même quand j'était élève à Poudlard. Aucun cheval en vue, et personne à l'intérieur visiblement... Personne ne répond à mes appels. Bon je fait quoi maintenant ?Mais... qu'est ce que tu fait le toutou ? Mais... lâche mon pantalon ! Je regarde incrédule un chien partir à la lisière de la forêt puis revenir en aboyant. Tu veux que je te suive ? Un aboiement me répond avant que le chien ne reparte en courant. Ils sont intelligents ces animaux quand même... Plus que nous je dirais. EH MAIS ATTEND ! Je cours pas aussi vite que toi hein ! Oh bon sang... Mais il vas où comme ça ? On s'enfonce beaucoup trop ! J'vois plus rien là... Lumus Solem Et m*rde... Je cours et saute par dessus les branches avant de tomber à genoux devant Miss Valdrak. Ces mains sont en sang... Mon dieu... Qu'est-ce qu'on a fait ?!? Je regarde tout autour de moi, pas de cheval en vue, juste le chien qui pousse la tête de sa maîtresse en vain. Posant un doigt sur sa jugulaire je vérifie que son cœur bat toujours, ce qui est le cas. Je met ma baguette entre mes dents puis prend Miss Valdrak entre mes bras, je me lève en gardant la jeune femme contre moi. Si je la fait léviter je pourrais la cogner contre un arbre... Le chien de ma collègue passe devant moi pour me montrer le chemin, je le suis doucement, passant au dessus des racines et des troncs. Au bout de quelques minutes de marches, nous arrivons enfin à la lisière de la forêt, d'un Nox j'éteint ma baguette avant de m'approcher de la maison de Max, poussant la porte avec mon dos. Je pose délicatement la jeune femme sur son lit avant d'aller chercher un verre d'eau et une serviette quelconque. Je mouille son front afin de faire baisser la température de son corps vérifiant qu'elle respire toujours. Miss Waldrak ? Max ValdrakSerdaigle Re Rendez-vous au fond de la forêtMax Valdrak, le Mer 15 Aoû - 2223 - Papa, comme je suis contente de te voir. Regarde j’ai eu mes BUSES…- Oui c’est bien…Piètre en potion?- Désolée mais j’arrive pas en potion, je préfère les soins aux créatures magiques…- Et comment tu veux soigner les créatures si tu connais aucune potions c’est inadmissible- Maxilien c’est pas grave c’est juste…- Si c’est grave, ma fille se laisse distraire par des activités futiles et toi tu l’encourages- Elle est encore jeune laisse la s’évader***Du feu. Une brulure. Un sort qui avait touché une amie. Sort de soin pour réparer. Mais l’effet inverse. Je l’avais brulée. J’avais amplifié le sort. J’avais blessé en voulant aider. J’avais fait du mal. Je…***Lancer un reparo sur un vase fissuré. Le faire exploser. Vouloir faire voler un oiseau de papier. Le brûler. Ne plus vouloir utiliser la magie. Ne plus vouloir blesser. Ne plus vouloir faire du mal. Se sentir seule. Ne pas être à sa place. Tenter de faire de son mieux. Et juste tout louper…***Une lettre. Mise à la porte. Passer ses aspics sans dormir la nuit. Ecrire entre deux larmes. Partir sans prévenir. Regretter après. Faire les mauvais choix. Toujours les mauvais choix. Ne pas vouloir inquiéter. Se faire oublier. Mais ne pas oublier. Ressasser. Apprendre la mauvaise nouvelle. Vivre reculée du monde une année…***Uevenir sans masque. Revenir sans repères. Etre juste seule. Apprendre qu’on a un frère jumeau. Découvrir sa vraie mère. Se sentir étrangère. Ne réussir à rien faire. Passer ses soirées dans la forêt a se faire attaquer. Cacher ses cicatrises. Cacher…***J’ouvrais doucement les yeux. Quelque chose de froid était sur mon front. Ma tête me faisait mal. Mes mains me faisaient mal. Mon cœur me faisait mal. Je ne savais pas comment arrêter ces voix dans mon esprit. J’avais l’impression que les scènes des souvenirs se répétaient en boucle. J’avais l’impression que rien ne pouvait les faire s’arrêter. Juste de l’air. Je…De l’air. Je tournais difficilement la tête puis tentais de me redresser quand je vis une personne près de moi. Mon cœur s’accéléra. Il m’avait vu… Je… Non. Il ne devait pas… Rester cacher. Rester souriante. Je ne voulais pas que…Je me ravissais de me redresser pour le moment. Tentant simplement d’esquisser un sourire. Un faux sourire. Mais où étais-je? Je n’étais plus en forêt. Il m’avait donc vu et ramener. Comment? Pourquoi? Ma voix était partie et seuls quelques rares mots apparurent dans les Merci Aidan. Re Rendez-vous au fond de la forêtContenu sponsorisé, le Permission de ce forumVous pouvez Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum Venez à moi, vous tous qui peinez sous le poids du fardeau, et moi, je vous procurerai le repos. » Mt 11 Demeurer en Lui pour qu’Il demeure en nous et nous porte dans le poids des jours … Évangile de Jésus-Christ selon saint Matthieu 11,25-30. En ce temps-là, Jésus prit la parole et dit Père, Seigneur du ciel et de la terre, je proclame ta louange ce que tu as caché aux sages et aux savants, tu l’as révélé aux tout-petits. Oui, Père, tu l’as voulu ainsi dans ta bienveillance. Tout m’a été remis par mon Père ; personne ne connaît le Fils, sinon le Père, et personne ne connaît le Père, sinon le Fils, et celui à qui le Fils veut le révéler. » Venez à moi, vous tous qui peinez sous le poids du fardeau, et moi, je vous procurerai le repos. Prenez sur vous mon joug, devenez mes disciples, car je suis doux et humble de cœur, et vous trouverez le repos pour votre âme. Oui, mon joug est facile à porter, et mon fardeau, léger. » Solennité du Sacré Coeur de Jésus – Extrait de la Traduction Liturgique de la Bible – © AELF, Paris

vous tous qui peinez sous le fardeau