Cest sur une note bien triste que s’est clôturée aujourd’hui le 13h de Jean-Pierre Pernaut, sur TF1. Le présentateur a annoncé à l’antenne le décès de l’un de ses plus anciens Hommageet débrayage des agents communaux de Mellac, en mémoire de leur collègue décédé Réservé aux abonnés Publié le 26 février 2022 à 16h58 Modifié le 27 février 2022 à 14h40 Partager Denombreux journalistes et médias ont rendu hommage à Frédéric Leclerc-Imhoff, envoyé spécial pour BFMTV en Ukraine, tué ce lundi 30 mai alors qu'il couvrait l'évacuation de civils dans l Ajouterun avis de décès; Salons Funéraires ; Carole Godin (1966 - 2022) Hommage NB; Carole Godin (1966-2022) Pokemouche; Subitement à l’Hôpital de Caraquet, le lundi 15 août 2022, à l’âge de 55 ans, est décédée Mme Carole Godin, épouse de Marc Savoie. Elle demeurait à Pokemouche. Née le 31 août 1966, elle était fille de feu Lorenzo Godin et de HOMMAGESA NOS COLLEGUES Merci aux collègues qui souhaitent écrire un hommage pour les personnes ci dessous. Nous envoyer le texte à l’adresse suivante Alternativesi vous ne vous sentez pas à l’aise pour écrire quelque chose. Vous pouvez écrire l’ oraison funèbre à plusieurs : chaque personne raconte tour à tour un souvenir sur le défunt ou dit un adjectif le qualifiant. Mis bout à On a appris aujourd’hui le décès de notre ancien collègue Jean-Daniel Flaysakier, médecin et journaliste", c'est par ses mots qu'Anne-Sophie Lapix a débuté son hommage à son collègue d60dgJ. 1En Afrique, comme en Amérique et partout où existent des sociétés traditionnelles, les personnes âgées – que les Amérindiens du Nord qualifient d’ aînés » Elders en anglais – sont l’objet d’un profond respect, car on estime que, si leur vie en ce monde a été longue, c’est qu’elles ont respecté des règles de savoir-vivre que ces sociétés instituent et transmettent par l’éducation, pour le bien-être et l’harmonie des relations entre tous les êtres vivants qui habitent notre petite planète. Assurément, Pierre Erny, qui vient de rejoindre le pays infini des souvenirs, a joué et jouera ce rôle d’ ancêtre fondateur », au même titre que Dominique Zahan qui créa effectivement l’Institut d’ethnologie à l’Université de Strasbourg en 1960. 2Les paroles désormais classiques du philosophe africain peul Hamadou Ampâte Bâ En Afrique, un vieillard qui meurt, c’est une bibliothèque qui brûle », remises dans leur contexte, s’appliquent au mieux à Pierre Erny. Mais, avec lui, c’est plus qu’un savoir qui disparaît car son érudition, elle était grande, il la mit toute une vie au service d’une action pédagogique et humaine peu commune. 3On ne peut qu’approuver celui ou celle, dont le nom m’échappe, qui a dit que lorsqu’on choisissait un nouveau membre au sein d’une faculté, d’un institut ou d’un laboratoire, c’est un collègue que l’on élisait. Un collègue » n’est pas seulement un enseignant et il n’est pas uniquement de bureau », même s’il arrive qu’on le partage comme ce fut mon cas avec Pierre Erny, c’est quelqu’un avec qui l’on passe une partie de son temps, quelqu’un avec qui l’on peut échanger des points de vue, des idées sur le monde comme il va, mais aussi, parfois, des sentiments, des émotions. Un collègue » c’est quelqu’un avec qui vous animez une institution, ce qui veut dire partager les responsabilités, participer à des réunions souvent ennuyeuses mais toujours, enfin presque toujours, nécessaires ; se battre pour ce en quoi vous croyez et avoir une vision pour l’avenir, un avenir souvent incertain. 1 L’ethnologie était considérée par le pouvoir algérien comme une discipline coloniale et, à ce tit ... 4Pierre Erny possédait au plus haut point ces qualités. Enseignant, il l’était et quel. Nous partagions une même expérience puisque, tandis que sa première fonction fut celle d’instituteur en Haute-Volta, aujourd’hui Burkina Faso, j’ai démarré ma carrière d’ethnologue en 1971 comme instituteur chargé de direction de l’École mixte de Camopi » en Guyane qualifiée alors de française » pour la démarquer de ses voisines les Guyanes anglaise Guyana et hollandaise Surinam. Plus tard, nous fûmes tous deux enseignants dans des universités africaines lui au Zaïre et au Rwanda, moi à Oran, en Algérie, après l’obtention d’une thèse d’ethnohistoire à l’Université de Paris 5-Sorbonne. J’ai enseigné quatre ans de 1977 à 1981 la psychologie sociale1 à l’Université d’Oran avant d’intégrer, à l’Université de Paris 7, l’UF Anthropologie, Ethnologie, Sciences des religions » créée et animée par Robert Jaulin, puis, en 1985, l’Université de Strasbourg. 5Pierre et moi partagions aussi l’idée que tous les efforts de l’ethnologie son sans effet si les peuples concernés n’en ont pas le bénéfice pratique » Jenny 1972 257. Quant à l’origine et à la nature de ce bénéfice » nos points de vue, certes, divergeaient Pierre Erny pensait que les sociétés africaines, comme les sociétés traditionnelles en général, subissaient une mutation inéluctable vers une modernité », dont il critiquait par ailleurs des aspects déshumanisants, et qu’on assistait à l’adoption d’un nouveau genre de vie et […] l’entrée dans la civilisation industrielle » Erny 1972 12. Ceci rendait, par exemple, la mise en place de l’institution scolaire, elle aussi, inévitable et même bénéfique. De plus, sa formation de séminariste, ses études en théologie à l’université, sa foi chrétienne profonde le conduisaient à une même absence de préventions à l’égard de l’Église et de l’action missionnaire. 2 Nous souhaitions, en appliquant ce programme – ce qui nous fut temporairement accordé par pur opp ... 3 Pierre Erny emploie une expression très proche de celle que j’ai développée dans mes écrits comme ... 6Moi et mes collègues et amis Pierre et Françoise Grenand avions initié, dès 1970, un projet d’enseignement adapté aux populations tribales de Guyane française. Formés sur les mêmes bancs de la Sorbonne et du Musée de l’Homme, à une ethnologie rigoureuse mais aussi engagée », sinon même militante, nous pensions que l’école telle qu’elle s’était imposée chez les Amérindiens de Guyane, et très influencée par l’Église2, conservait un caractère colonial et qu’elle participait au premier chef d’un projet d’assimilation, d’ethnocide pour dire le mot, des populations traditionnelles, visant à substituer une économie de marché à l’économie de subsistance traditionnelle chasse, pêche, collecte et agriculture sur brûlis et, plus que cela, à transformer les mentalités. Pierre Erny le reconnaissait d’ailleurs puisqu’il écrivait qu’avec la conquête coloniale C’est tout un monde spirituel, un ordre de représentations, de croyances, d’usages et d’activités qui soudain s’effondre après avoir survécu depuis un temps immémorial […] À des rapports d’équilibre et d’harmonie entre l’homme et la nature succèdent des rapports de domination et un projet d’asservissement de l’une par l’autre. Les agglomérations urbaines deviennent comme les creusets de la modernité où les liens interhumains se dépersonnalisent et où l’on assiste à des phénomènes de massification » Erny 1972 28. Pierre Erny ne parlait-il pas déjà ici d’une mondialisation », de l’instauration d’une pensée unique et de la domination d’un mode d’être, de penser et d’agir3 qui ne répond plus aux véritables besoins de cette planète et de ses habitants humains et non-humains ? 7Et l’Église, les églises plutôt, les religions dites révélées » – elles ne le sont pas plus que les autres, pas plus qu’elles ne sont davantage monothéistes » –, avant-garde et agents actifs de cette colonisation des corps, des esprits et des espaces, n’ont-elles pas une grave responsabilité dans la déstructuration des sociétés et des individus qui les composent, et des génocides qui jalonnent l’histoire de l’humanité ? 8Alors, pourquoi, sauf à invoquer un évolutionnisme social désuet mais tenace à la Morgan 1877 et le devoir évangélique » qui en est la caution morale, vouloir, à tout prix, jusqu’à leur mort, embarquer les sociétés traditionnelles, encore porteuses de valeurs, écologiques, humaines et spirituelles propres, vers l’abîme et l’effondrement Diamond 2006 auxquels nous conduisent des politiques insensées, suicidaires et criminelles ? Pierre Erny évoque la volonté des gens eux-mêmes, particulièrement celle des jeunes générations Mais nous le savons bien tout cela appartient au moins virtuellement au passé. À travers leur jeunesse, les cultures traditionnelles aspirent aujourd’hui de toutes leurs forces vers la civilisation moderne, technique et industrielle, et se montrent avides d’assumer toutes les conséquences que ce passage entraîne. Ne sont-elles pas sur le point d’être emportées par le même courant irréversible qui a submergé dans un passé relativement proche les sociétés paysannes d’Europe ? Par son importance, le saut qualitatif qu’accomplissent ainsi les peuples que nous qualifions d’archaïques ne peut se comparer qu’à la révolution néolithique issue des grandes découvertes indispensables à la sécurité et à l’épanouissement de l’espèce humaine. Comme cette dernière, le passage à la modernité entraîne une restructuration extrêmement profonde dont on ne saurait exagérer la portée ni les implications. » Erny 2006 12-13. 4 F. Fanon écrit Le colon ne s’arrête dans son travail d’éreintement du colonisé que lorsque ce ... 9Mais si la révolution néolithique » fut progressive et animée par un mouvement interne – ce qui n’exclut pas les influences –, ces aspirations » de la jeunesse et le soi-disant désir de civilisation » ne sont-ils pas la réussite suprême du processus colonial, un processus imposé de l’extérieur que j’appelle l’égocide et que Frantz Fanon a parfaitement résumé4 convaincre l’autre que ce qu’on lui propose est la meilleure et même la seule voie possible pour lui ? À qui profite vraiment cette persuasion clandestine » Packard 1958, c’est la véritable question. Ce n’est pas le lieu d’en débattre ici, et, malheureusement, nous n’eûmes guère le loisir et le temps, Pierre et moi, de mener à Strasbourg une nouvelle controverse de Valladolid » ! 10Pierre Erny avait une certaine conception de l’ethnologie, de ses méthodes et de ses objectifs. Sa première thèse, soutenue bien sûr à l’Université – alors des Sciences humaines – de Strasbourg, était en psychologie. Il savait qu’on ne peut moralement intervenir, pour le meilleur pensait-il, dans la vie des autres si on ne les connaît intimement, dans leurs actes comme dans leurs pensées. Autant dire que l’éloignement du regard prôné par Claude Lévi-Strauss 1983 n’était pas sa tasse de thé. Et sa longue fréquentation des sociétés africaines, et sans doute aussi ses profondes racines alsaciennes qu’il partageait avec Antoinette, son épouse et son soutien constant, l’avaient convaincu, comme je le suis, qu’au-delà de la diversité des cultures, dont l’ethnologue, répondant au vœu de Montaigne 1580 et de Rousseau 1755, fait un peu l’inventaire, il existe un substrat commun qui constitue une nature humaine », une nature » qui, au-delà de nos indices céphaliques, de nos couleurs de peau, des habitus des uns et des autres, nous incite à la communication et à l’échange. Animé lui-même d’une foi intense – il prépara aussi, dans la foulée, aussi à Strasbourg, une thèse de théologie –, Pierre Erny savait que l’être humain est par nature angoissé, qu’il se pose beaucoup de questions auxquelles il a rarement des réponses et que les mystères irrésolus le conduisent à des croyances et à des comportements peu rationnels, la part maudite »Bataille 1949 peut-être. Il savait qu’il existe d’autres voies de connaissance, empruntées par les philosophies orientales et par les sociétés traditionnelles, que l’approche cartésienne. Le rêve, si important dans les sociétés traditionnelles, est l’une de ces voies et le mythe en est l’illustration. 11Étranger aux écoles et aux querelles de clochers ; animé d’une grande curiosité et avec une large ouverture d’esprit, Pierre Erny pensait qu’aucune de ces voies ne doit être écartée a priori. Dans un véritable esprit de pluridisciplinarité, il développa donc, au sein de l’Institut d’ethnologie, des enseignements tous azimuts, en astronomie, en philosophie orientale bouddhisme tibétain, en psychanalyse jungienne, etc. 12Quant aux personnes visées, là aussi il voyait large Je pensais que l’ethnologie devait aussi être accessible aux médecins, aux assistantes sociales… une clientèle extérieure à l’ethnologie ». Ou encore J’étais persuadé, et je le suis plus que jamais, que l’ethnologie a quelque chose à apporter à tous ceux qui travaillent sur l’homme et avec l’homme » cité par Bianquis 1992 43-44. Sur ces principes, on doit à Pierre Erny d’avoir su attirer à l’ethnologie un public nombreux et diversifié ; le recrutement de l’Institut d’ethnologie dépassa même un court moment celui de la sociologie ! 13Ce sont les deux Pierre, dans l’ordre Pierre Vogler et Pierre Erny, qui m’accueillirent en 1985 à l’Institut d’ethnologie de l’Université des Sciences humaines devenue, par confusion avec les deux autres ex-universités, Louis Pasteur et Robert Schuman, une partie de l’Université de Strasbourg. J’eus très vite l’occasion d’apprécier la bienveillance de Pierre Erny, moi qui venais de chez Robert Jaulin à l’Université de Paris 7-Jussieu et apportais dans mes bagages l’idée d’une ethnologie engagée voire militante. 14L’enseignement et le suivi des étudiants, en ethnologie mais aussi en sciences de l’éducation, nous ont largement occupés et les seules occasions d’échanger nos points de vue, de façon toujours cordiale bien sûr, furent les soutenances de mémoires et des thèses lorsque nous nous retrouvions dans des jurys communs, ce qui se produisit à de nombreuses reprises. Pierre était la bienveillance même, bienveillance sans complaisance, envers les étudiants ; il savait combien est long et difficile le cheminement qui mène des bancs inconfortables des amphithéâtres vers les salles, toujours trop petites, de cours et de séminaires, pour aboutir, pas toujours, avec beaucoup d’abnégation et souvent de sacrifices, à la mise en scène finale de la soutenance de thèse devant un aréopage de savants spécialistes » qui vont vous soumettre à la question ! 15Si Pierre Erny respectait le jugement des autres, il savait aussi faire valoir ses arguments et tenir ferme devant des adversités qui ne manquèrent pas au sein même des sciences sociales. Lui et moi nous retrouvions aussi largement dans la défense de notre discipline dont l’existence même fut souvent mise en question. Il nous fallait, par exemple, constamment rappeler que la distinction entre socio » et ethno » n’est pas seulement de méthode ! 16Et P. Erny trouvait encore le temps d’écrire ; sa bibliographie est considérable et ses écrits sur l’éducation traditionnelle et la scolarisation des jeunes africains, au cœur du débat sur la coexistence ou le caractère exclusif de la tradition » et de la modernité », font de lui l’un des pères de la païdologie l’étude de l’enfance et des systèmes éducatifs traditionnels dans les sociétés africaines. 17Il est infiniment plus agréable de rendre hommage à une personne lorsqu’il n’y a pas à accoler à sa date de naissance, au lieu d’un point de suspension, une date qui marque l’aboutissement d’un long parcours, comme nous le fîmes à l’initiative de Suzy Guth, notre collègue et amie, dans un ouvrage paru en 2013. Mais nul doute que l’ombre tutélaire de Pierre Erny continue de planer au-dessus de la salle 5319 la salle d’ethno », espace protégé – pour combien de temps encore ? – dernier refuge d’une espèce menacée de disparition. 18J’écris ces lignes à un moment critique de notre histoire, alors que sévit un virus appelé COVID 19 qui replace les êtres humains face à leur fragilité et les contraint quelque peu à l’humilité. N’est-ce pas une certaine modernité » qui est mise en échec, et n’est-il pas temps d’écouter ce que les sages africains, amérindiens et autres représentants des petites sociétés, ont à nous dire ? Temps de se demander s’il n’est pas d’autres voies que celle d’une technologie débridée et d’un développement » effréné qui ne profitent plus qu’aux nantis et aux profiteurs, et mettent en péril la survie de toutes formes de vie ici-bas. Il me plaît de penser que Pierre Erny n’aurait pas désapprouvé ces réflexions finales. Nous venions d’horizons différents, mais au-delà de la diversité, il y a, aimait-il à dire, une unité de la nature humaine qui nous permet de communiquer. Entre nous, moi le normand, et lui l’alsacien, le courant est passé ; le collègue » est devenu un ami. C’est le mieux qu’on puisse espérer et, quand il vous quitte, la perte est d’autant plus grande car chaque ami qui disparaît, c’est une partie de vous-même qui s’en va. Institut ethnologie Strasbourg, Archive Eric Navet, 1995. Publié le 25/07/2022 à 1149, Mis à jour le 25/07/2022 à 1456 Les joueurs ont enfilé à la fin du match un t-shirt noir, floqué du prénom Xavier». Capture d'écran L'Equipe Ta voix nous manque», ont assuré ses confrères sur la chaîne L'Équipe durant la demi-finale opposant la France à l'Italie. Le commentateur est décédé vendredi à l'âge de 59 aurait dû commenter cette rencontre. Le journaliste de la chaîne L'Équipe Xavier Richefort est décédé le 22 juillet 2022 à l'âge de 59 ans, des suites d'un infarctus. Ses collègues lui ont rendu hommage ce samedi lors du match opposant la France à l'Italie en demi-finale de la Ligue des nations - que les Bleus ont finalement remportée dimanche, face aux Ollivier, chargé des commentaires de ce match lors duquel la France a battu l'Italie à plate couture, a évoqué une voix qu'on ne remplace pas». Après une carrière de volleyeur professionnel il avait été champion de France en 1993 avec le PSG - Asnières, Xavier Richefort était passé par l'Équipe TV puis Eurosport et Infosport, avant de retrouver la chaîne L'Équipe en 2012. Les premiers points de la rencontre, durant deux minutes, n'ont pas été commentés, pour saluer sa lire aussiVolley troisième titre en Ligue des nations pour Ngapeth et les BleusÀ la fin du match, les joueurs français lui ont rendu hommage à leur tour en enfilant un maillot noir avec le prénom de Xavier écrit en blanc. Membre important de la rédaction de la chaîne, comme l'a souligné Samuel Ollivier, et grand spécialiste du volley en général, beaucoup des Bleus le connaissaient. Tout le monde l'aimait. Pour sa voix, sa gentillesse, il va beaucoup nous manquer», conclut le commentateur et joueur Yannick VOIR AUSSI - Olivier Ménard L'Équipe du soir» Karim Benzema chez les Bleus, ça m'excite!» © TELE STAR / MONDADORI FRANCE 1/15 - STEPHANE PLAZA A SON BUREAU DE L'AGENCE DU RESEAU D'AGENCES IMMOBILIERES STEPHANE PLAZA IMMOBILIER, RUE DES 3 BORNES Le 27 juin 2020 à 17h57 Dans le dernier épisode de Chasseurs d'appart diffusé sur M6 ce 26 juin 2020, Stéphane Plaza a rendu hommage à Julie, une ancienne collègue à lui qui a perdu la vie dans un accident de la route. Il a également honoré sa mémoire sur son compte vendredi 26 juin 2020 était diffusé sur M6 l'émission Chasseurs d'Appart, qui avait cette fois lieu à Nîmes. Stéphane Plaza a remporté la compétition face à Isabelle. Fier de sa victoire, le célèbre agent immobilier en a profité pour rendre un hommage à Julie Fauroux, une amie qui exerçait la même profession que lui, mais qui est décédé précocement il y a près de 2 ans, alors qu'elle n'avait que 25 son compte Instagram, il y a quelques jours, Stéphane Plaza a honoré sa mémoire et celle d'un autre participant du programme, prénommé Yonnel Ponton, qui est lui aussi mort dans un accident de voiture. "À notre ange Julie Fauroux si tu nous regardes. Tu nous as quittés le 8 septembre 2018 suite à un accident de la route à Toulouse, mais tu es toujours dans nos cœurs et dans nos esprits. Tu avais brillamment remporté la compétition 'Chasseurs d'appart' en 2016 et j'étais fier de toi. Alors j'ai décidé de mettre en lumière la personne que tu étais et cette association 'Victimes et avenir' pour une semaine de compétition exceptionnelle", écrit le meilleur ami de Karine Le Marchand, avant de poursuivre "Je sais à quel point il est difficile de perdre un être cher, à quel point personne n'est préparé à voir partir un enfant, ce n'est pas l'ordre logique des choses. Patrick ton papa, soutient lui aussi cette association qui se bat au quotidien pour les victimes d'accidents corporels et leur famille... C'est pour moi le témoignage d'un amour inconditionnel. Qu'elle doit être fière et admirative en t'observant de là-haut".Deux agents immobilier "partis trop tôt"Le présentateur télé de 50 ans a également salué la mémoire de Yonnel Ponton, "gagnant de la compétition 'Chasseur' 2017, parti trop tôt dans ces mêmes conditions" en mentionnant une citation de Charlie Chaplin "Du chaos naissent dans les étoiles" et en précisant que "cette semaine inédite de 'Chasseur' leur est dédiée". "Vous nous manquez", conclut-il avec émotion. Inscrivez-vous à la Newsletter de pour recevoir gratuitement les dernières actualités © Instagram 2/15 - Stéphane Plaza rend hommage à une collègue décédée dans un accident de la route © Instagram 3/15 - Stéphane Plaza rend hommage à une collègue décédée dans un accident de la route © Instagram 4/15 - Stéphane Plaza rend hommage à une collègue décédée dans un accident de la route © Instagram 5/15 - Stéphane Plaza rend hommage à une collègue décédée dans un accident de la route © TELE STAR / MONDADORI FRANCE 6/15 - 1ERE DE GALA MAMMA MIA ! LE MUSICAL AU THEATRE MOGADOR STEPHANE PLAZA © TELE STAR / MONDADORI FRANCE 7/15 - 15EME EDITION DE LA COURSE COURIR ENSEMBLE KARINE LE MARCHAND STEPHANE PLAZA © TELE STAR / MONDADORI FRANCE 8/15 - STEPHANE PLAZA © JACOVIDES-MOREAU / BESTIMAGE 9/15 - Stéphane Plaza et Karine Le Marchand plaisantent et s'amusent à Roland Garros - People dans les tribunes lors des internationaux de tennis de Roland Garros à Paris le 4 juin 2018 © TELE STAR / MONDADORI FRANCE 10/15 - STEPHANE PLAZA DEVANT SON AGENCE DU RESEAU D'AGENCES IMMOBILIERES STEPHANE PLAZA IMMOBILIER, RUE DES 3 BORNES © Giancarlo Gorassini/BestImage 11/15 - Stephane Plaza et Karine Le Marchand à la générale du spectacle "JeanFi Janssens Décolle" à l'Alhambra à Paris, le 7 décembre 2017. © TELE STAR / MONDADORI FRANCE 12/15 - STEPHANE PLAZA DEVANT SON AGENCE DU RESEAU D'AGENCES IMMOBILIERES STEPHANE PLAZA IMMOBILIER, RUE DES 3 BORNES © JACOVIDES-MOREAU / BESTIMAGE 13/15 - Karine Le Marchand et Stéphane Plaza - Les célébrités dans les tribunes lors des internationaux de France de Roland-Garros à Paris, le 4 juin 2017. © TELE POCHE / MONDADORI FRANCE 14/15 - STEPHANE PLAZA © JACOVIDES-MOREAU / BESTIMAGE 15/15 - Stéphane Plaza et Karine Le Marchand - Célébrités dans les tribunes des internationaux de France de tennis de Roland Garros à Paris, France, le 8 juin 2019. Sur le même sujet Résumé de la lettre Vous lisez un hommage rendu à votre collègue décédé qui était également votre ami. Conseils d'utilisation de la lettre Cet hommage pourra être prononcé aussi bien lors des funérailles que dans une réunion d'entreprise consacrée à la disparition de votre collègue. Aperçu de la lettre DISCOURS HOMMAGE POUR MON COLLEGUE DEFUNT Mesdames, Messieurs, Par ces quelques mots, je voudrai rendre un hommage ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ . ... Nom du défunt et moi, nous avons travaillé ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ . Comment ensevelir le souvenir de ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ? Aujourd'hui, Mesdames et Messieurs, je ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ . Adieu, ... Nom du défunt, ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ ¤ . Ce modèle en version complète vous sera envoyé directement par e-mail aux formats texte simple .txt Microsoft Word .doc Passer commande envoi immédiat par mail Publié le 09/06/2020 à 1428, Mis à jour le 10/06/2020 à 0830 Mathieu Sarda travaillait depuis dix ans pour la station publique en tant que programmateur de la matinale. Le journaliste est mort ce dimanche à l’âge de 41 ans.Nous ne pouvions pas terminer ce “7/9” sans ces quelques mots d’adieu à un ami.» C’est la voix chevrotante que ce mardi matin Nicolas Demorand a tenu à rendre hommage à Mathieu Sarda, programmateur en chef de la matinale. Vous ne connaissiez pas son nom, vous n’entendiez pas sa voix à la radio et pourtant, il était ici un visage connu de tous. Il était surtout l’âme de cette matinale. Il s’appelait Mathieu Sarda, il avait 41 ans et il nous a quittés dimanche soir», a poursuivi le matinalier.France Inter est sous le choc, notre petite équipe du “7/9” est sous le choc. Cet amoureux du théâtre et de la littérature préférait les coulisses et arpentait les couloirs, la régie, les bureaux d’un pas vif, le carnet à la main pour pouvoir parler à tout le monde, pour prendre des notes et pour imaginer des émissions possibles. Hier, pour la première fois, on n’a pas entendu son “Alors, comment ça va?” à 6h30 du matin quand il arrivait à la radio sourire aux lèvres et tiré à quatre épingles. [...] La question rituelle qui nous faisait du bien à Léa et à moi et qui nous disait que rien de ce qui allait arriver dans la journée ne serait grave», a ajouté Nicolas Demorand avant de laisser la parole à Léa Salamé.Le succès de la matinale, c’est lui. Le mariage heureux entre des invités politiques, des artistes, des intellectuels, entre l’émotion d’un côté et la réflexion de l’autre, c’était lui. À chaque qu’on rechignait à prendre tel invité, il insistait “Mais si, faites-le c’est bien pour les auditeurs, c’est bien pour la matinale”. Alors on l’écoutait, et à chaque fois, Mathieu avait raison», a enchaîné la journaliste pour qui le terme programmateur en chef ne suffit pas à décrire ce que faisait Mathieu». Sa présence à chaque instant, son intelligence, son exigence et surtout sa gentillesse. Il était en fait le chef d’orchestre de cette matinale depuis près de dix ans, d’abord avec Patrick Cohen et puis avec nous. On a travaillé ensemble tous les jours, sept jours sur sept quand il le fallait. Rien ne pouvait nous arriver parce que Mathieu était là, derrière la vitre de ce studio», s’est-elle moment d’évoquer son absence, des sanglots dans la voix de Léa Salamé, visiblement très affectée, se sont fait entendre Et ce matin, il n’est plus là, derrière la vitre. Et on n’a pas son regard, et on n’a pas son sourire. Mathieu était l’être le plus fin, le plus délicat de tous. La grâce c’était lui. Il était notre ami, il était mon ami».Enfin, Nicolas Demorand a adressé au nom de France Inter mais aussi de toute l’équipe de la matinale leurs pensées à sa famille, à ses deux jeunes enfants Rosine et Gustave, et à son compagnon Arnaud. Il paraît que le silence est l’étui de la vérité. En tout cas, tu nous manqueras tous terriblement, Mathieu», a conclu le matinalier incapable de retenir son Internet, Laurence Bloch, directrice de la station, a également tenu à rendre hommage à ce très grand professionnel». Quelqu’un sur qui l’on pouvait compter, avec lequel on pouvait partager ses joies, ses chagrins et quelquefois de si mauvaises blagues qu’on pouvait en pleurer de rire pendant de longues minutes. Il était toujours là pour celles et ceux qu’il aimait malgré la fatigue des petits matins et la pression de l’actualité.»Depuis ce matin, une pluie d’hommages a inondé Twitter. Parmi eux, Franck Riester a écrit partager la tristesse de la rédaction de la matinale de France Inter et de ceux qui ont un jour croisé la route de Mathieu Sarda». Ils perdent un collègue et pour beaucoup un ami. J’adresse mes plus sincères condoléances à sa famille», a posté le ministre de la Culture.» Suivez toutes les infos de TV Magazine sur Facebook et Twitter.

hommage à un collègue de travail décédé